A partir de très nombreux dessins et peintures, Pierre MARCOUX nous a présenté les gens, leurs costumes, les scènes de famille et leurs activités d’autrefois. Toutes ces illustrations pourraient être utilisées pour nos généalogies. A travers d’autres images, en particulier de l’Armorial de Revel, il nous a montré les traces de l’histoire régionale.  

Gens et activités d’autrefois

La première chose à faire pour illustrer sa généalogie est d’utiliser les photos de sa famille. Pour le reste, internet représente une source inépuisable : il s’agit de trouver les bonnes reproductions avec les costumes d’époque.

Julien DUPRE, peintre de la ruralité est une référence importante. Mais d’autres peintres ou dessinateurs peuvent aussi être intéressants pour donner une idée des travaux, de la vie, de la maison, des métiers disparus, des lieux oubliés… des personnes contemporaines de nos ancêtres.

La récolte des foins (Dupré)

La gardeuse d’oie (Dupré)

Le transport des gerbes (Dupré)

Les glaneuses (Millet)

La Chocolaterie ESCOFFIER

Le port de Roanne

Armorial de Revel et sources anciennes

Il existe des images très anciennes de notre région avec un grand nombre de dessins sur internet. En 1536, François 1er s’empare de notre région. A partir de là de nombreux documents peuvent se trouver dans l’Armorial de Revel (l’Armorial d’Auvergne, Bourbonnois et Forestz) Sous la direction de Guillaume Revel, plusieurs dessinateurs ont fait des relevés et études sur le terrain avant que les dessins ne soient réalisés en atelier. Plusieurs mains peuvent être distinguées. Il s’agit donc d’une œuvre collective. Il comporte le recensement de tous les vassaux, des blasons, de l’état des forteresses.

Pierre MARCOUX a présenté un très grand nombre de ces dessins pour « raconter » l’histoire du Forez et de ses alentours.

On peut retrouver tout ceci à la BnF GALLICA en suivant ce lien :

https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/b...

Les participants à cette conférence ont été particulièrement intéressés par l’abondante documentation présentée par Pierre MARCOUX.